LUTHERIE - Le bilan des trois ans de l'association APLG |
REDACTEUR : Jacques CARBONNEAUX |
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04/2014-04/2015 - INCERTITUDES, GROS CHANTIERS |
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Avec une baisse de 25% des adhésions, l'association a pris conscience qu'elle avait trop investi à perte dans les salons et a décidé de mettre en place les différents chantiers qu'elle s'était donnés pour objectifs dans ses statuts pour réussir à continuer de fédérer la profession.
D'un point de vue organisationnel, Fred Kopo, le président, a proposé au bureau qu'il se réunisse une fois par semaine (comme il le fait avec le bureau d'EGB) pour une réunion skype, avec comme principaux intervenants : Fred, Catherine Baudry (trésorière), Christophe Grellier (secrétaire) et moi-même (Christelle Caillot, vice-trésorière et Rosyne Tejedor-Charles, vice-présidente, n'ont pu, pour des raisons personnelles suivre toutes ces réunions). Cette régularité a permis de dynamiser l'équipe du bureau et de mettre de nouveaux projets en construction :
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Le luthier Rico Priet intègre les réunions hebdomadaires du bureau et met de suite en place un village de luthiers au Festival de Guitares en Scène en juillet 2014. Une nouvelle approche, différente de celle d'un salon, pour tenter de rencontrer un public musicien particulièrement important dans ce genre d'événements ;
- Obtention d'un tarif préférentiel pour un stand artisan APLG à Musicora (nouvelle équipe), participation anecdotique des luthiers à cette 1ère édition ;
- Préparation des premières portes ouvertes programmées en juin 2015 ;
- Préparation du premier Symposium programmé pour août 2015 avec l'embauche d'un stagiaire (Maël Navarro) pour l'organisation de l'événement et qui nous rejoint régulièrement aux réunions hebdomadaires;
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Participation à la 3ème édition de Guitares au Beffroi, dernière année où la part belle est donnée aux luthiers pour un prix de stand raisonnable;
- En février, je suis invité à participer à la réunion de bureau de la CSFI et demande alors à l'APLG d'adhérer à cette chambre, longtemps décriée, mais qui reste tout de même le premier interlocuteur des ministéres pour les facteurs d'instruments.
- Le projet du deuxième ouvrage "Luthiers et Guitares d'en France" a été vécu par les luthiers, par l'APLG et par moi-même comme un vrai cauchemar. La situation est à ce jour incertaine mais Maxime Ruiz tente de relancer le projet avec de nouveaux partenaires.
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